Muriel Cayet

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Photographie au présent d'un presque printemps - Mars 2017 - Muriel CAYET- Tableaux naturels

Ajouté le 11 mars 2017

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Muriel CAYET - Mars 2017

Photographie poétique et narrative

Cadrer c'est choisir, cadrer c'est raconter; cadrer, c'est choisir de raconter

Tableaux naturels

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Photographie au présent - Ephémères rayons de soleil un jour de tempête - Muriel CAYET - Mars 2017

Ajouté le 8 mars 2017

Quand le printemps hésite encore...

 

 

 

 

 

 

 

Quand il suffit simplement de poser les yeux 

ou quand il suffit de poser les yeux sur la vie simple

ou: quand il suffit de poser simplement les yeux sur la vie !

 

Muriel CAYET

Mars 2017

Photographie au présent

Tableaux naturels

 

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Photographie au présent - Au fil de l'eau II - Février 2017 - Photographie géopoétique - Muriel CAYET

Ajouté le 24 févr. 2017

Au fil de l'eau - Tableaux naturels - Février 2017 - Photographie - Muriel CAYET

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Muriel CAYET

Photographie

Tableaux naturels

Février 2017

 

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Photographie au présent - Au fil de l'eau - Février 2017 - Photographie géopoétique - Muriel CAYET

Ajouté le 24 févr. 2017

Au fil de l'eau - Tableaux naturels

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Muriel Cayet - 2017

Photographie au présent

Tableaux naturels

 

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Photographie du présent - Fleurs de forêt - Muriel Cayet- Février 2017

Ajouté le 24 févr. 2017

Fleurs de forêt - Tableaux naturels - Photographie géopoétique- Muriel Cayet - Février 2017

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Poésie au présent permanent - Muriel CAYET - Poèmes - Février 2017

Ajouté le 24 févr. 2017

INTROSPECTION

 

Franchir le seuil des capacités, les originaux des messages,

Construire un coffre sur mesure, installer au-dessus un beau vitrail,

Accepter un certain penchant pour la terre et ses métamorphoses d’usage,

Jouer les experts avec le même enthousiasme pour son travail.


Avoir toujours des minutes d’avance sur soi,

Etre le seul à affronter le cercle polaire,

Y voir pousser les graines séculaires avec émoi,

Et savourer le silence discret et exquis du cristal de lumière.

 

Retrouver son esprit aiguisé à l’ancienne

Réchauffé dans la tradition de tous les feux de cheminée

Des timbres de grande valeur sur une table, bohémienne

Un relevé de mise en scène plus que surprenant, illisible, renversé.

 

Remercier le ciel pour ce qu’il a d’intéressant

Sa collection d’atomes, un bon moyen de collaboration.

Raccompagner la journée, de rires joyeux, multifacettes, dans un voyage cohérent

Ecrire à la nuit, sa correspondance étrange, jeu d’analyste des émotions.

 

***

LE LIEN INTEMPOREL

 

Le lien intemporel se construit de rencontres,

Toujours du même bleu, basé sur le même nombre énigmatique,

Impossible d’accès aux faux amis, aux fossiles, aux coureurs contre la montre

Sous les lumières de la ville, il promet tous les tours d’alambic.

 

Le lien intemporel nous saisit un soir de novembre, pas vrai ?

Méticuleusement, il analyse les données, parfois il fait penser,

A un réverbère, une exposition de bijoux, une solution en pleine nuit, en astucieux essai

Instructif point de vue, sans limite, sous la neige, régénéré.

 

Le lien intemporel sait rester en contact

Sa réflexion est intense, la recherche toujours en séquences, les documents judicieux,

Il lui faut du temps pour dire ce qu’il pense, en prisme précieux, avec tact

Classer un paquet de lettres ou les jeter dans le feu.


Le lien intemporel doit toujours faire mieux,

Pas à la première personne, à l’évidence,

Ce que l’on attend de lui ? Il ne peut rien nous dire, juste rêver silencieux,

Et marcher jusqu’à disparaître de la vue, passer le coin de la rue, en cadence.

 

***

 

VERBES EN Dé

 

Développer une bonne astuce, en raconter la tolérance, faire fonctionner les nouveaux départs,

Parler via la pierre de Rosette de ce sens caché qui ressemble à un destin,

Dessiner, c’est fascinant, une stimulation, une ambiance comme un grand tableau, un mur d’art,

Au rythme des caractères d’un message, faire le choix d’une passion, un matin.

 

Découvrir les paradoxes des origines, appliquer cette philosophie offerte,

Un spécimen archéologique sous toutes ses formes, une présence d’apaisement,

Définir une excellente question, théâtrale, précieuse, ouverte,

Le temps partagé de l’être-là donne des réponses, des sourires aimants.

 



Déchiffrer les examens d’informations, par la ruse,

Les liens puissants de la compréhension, tenir compagnie à la communauté, sans discipline

Délester une logique mathématique, faire réfléchir le monde, pour qu’il s’amuse,

Et lui dire : « Vous avez de l’instinct, vous savez, vous êtes unique, dans cette vitrine.

 

***

 

VOYAGE

 

Le voyage familiarise au magnifique, à la conversion de son unique entourage,

Quand, où, comment ? Il entame une conversation passionnée sur un pont confortable, aventureux,

Pour communiquer, il crée l’ambiance, bien prompt, joue toutes ses notes au courage,

Une architecture éphémère,  les détails d’une vie, un maillage prudent et mystérieux.

 

Le voyage prend place naturellement dans un extraordinaire musée,

Des fragments d’outils à donner aux enfants, homologues de chercheurs en maison,

Ce n’est pas un mythe, c’est par choix qu’il crée des ressources loin des théories usées,

Il donne envie de se poser, même des questions, matière à écrire, éphémère collection.

 

Le voyage apporte de la lumière aux regards,

Un sens à transmettre, un lieu hors du temps, une élégance d’esprit,

Un fil conducteur de modernité, perplexe vagabondage au-dessus de la limite du phare

Un bel ensemble qui sait ouvrir la perception, pour contempler les environs, à sa merci.



Le voyage croit savoir ce que l’on pense, à l’opéra il sait donner du caractère, de la ponctuation

Une édification peu probable, un code traditionnel, une promenade symbolique,

Sur la scène,  il envisage la possibilité d’un enregistrement, d’une édification

Ce n’est pas un secret, il fait toujours au mieux, avec le grand mystère, chronologique.

***

ORGANISEUR

Organiser les idées au sein de la grande papeterie,

De tous les outils mis à sa disposition, assis à la même table

Dorénavant, une cachette bien pratique, un plan avéré, un style épuré, une théorie

Qu’en savez-vous ? Quel est le sens ? Attendre les nouveaux équipements ? Etre capable ?

 

Organiser les rendez-vous, des plannings dans toutes les directions,

Les points importants, atteindre un rocher, épingler sur un grand mur,

Patience et vertu, une excellente idée, des centres de réflexion,

Tout se prépare, on feuillette son intention, un trésor de créativité, sous son armure.

 

Organiser les adresses et les trouvailles, structurer l’espace d’inspiration

Créant quelque chose de nouveau, un décor pacifique dans le graphique,

Un détour de vie numérique, un ébahissement de concepts oubliés, une innovation,

Regarder réellement ce nouvel écrin, ces rubans fantastiques.

 

Organiser les lettres et les mots, les couleurs, les procédures,

Tracer le pont sur les airs, sur les marches, sur les villes,

De toute évidence, de l’imagination connaître la structure,

Et de la félicité, les raisons, le savoir-faire, la clémence tranquille.



Organiser ses expériences et ses interrogations, rassembler ses idées,

Mais voilà une étiquette qui offre son impression,

Un matin sous le soleil, on réfléchit, on partage d’une terrasse panoramique, un carnet,

Une idée derrière la tête, un secret de l’atmosphère, une respiration.

 

***

L’ATELIER DU DOMAINE

 

L’atelier du domaine a sa propre identité

Il part le matin en reconnaissance entre performance et méditation,

Autour de soi, la lumière qui filtre de la fenêtre, la charité,

Un pâturage verdoyant, les couleurs claires, les objets d’antan, parsemés.

 

L’atelier du domaine est un univers sans frontières

Une référence architecturale, une âme de la maison, des termes poétiques

Un coup de théâtre, une fontaine de jouvence, une croissance en miniature, d’hier

Un conte de fées d’où jaillit des notes de couleurs, le monde de demain, chimérique.

 

L’atelier du domaine sait fêter le printemps,

Un prélude insistant, une évidence bohème, une coordination d’idées fortes,

Une expérience inédite du lointain, mille talents du territoire vaste et sauvage, d’antan

La pièce phare, c’est l’éclat de lumière des contrées lointaines, un avenir radieux, une déduction, une escorte.

 

L’atelier du domaine, c’est l’ode à la rêverie

Loin de la routine, une mine d’or,  une zone bleue

Il voit surgir la fibre artistique, des arabesques quotidiennes, une nouvelle vie,

Sans trop de difficultés, il écrit les articles récents, avec exigence, son enjeu. 

***

PASSEUR

 

Pour passer du songe à la réalité,

On a la trajectoire de bonne humeur,

Les principes de déduction à dénouer

Le travail en cours, une incertitude, un bon endroit ensorceleur.



Pour passer du phrasé à la philosophie,

On a la métaphore qui touche

Le calme de la tolérance que l’instant choisit,

L’océan, source de guérison, un chapitre qui fait mouche.

 

Pour passer de la vue à la vision

On a la typographie, un classement, une ambiance féérique

Un bleu de la vie, un sol jonché de feuilles, l’énergie solaire, sa réalisation.

Ses recherches littéraires, le métal et la pierre, un médaillon unique.

 

Pour passer des années au temps

On a plusieurs niveaux décrivant un monde étrange

Un carnet d’inspiration, un dégradé en tons profonds, l’esprit du moment

La sérénité, une rencontre légendaire, un coup de couleurs des anges.



Pour passer de l’entrée du paraitre au départ,

On a la prédilection, les jeux de contraste, la lumière du jour,

La mécanique du lien, la part qui transmet l’art

Un secret bien gardé, un atout incontesté, au courant de tout, toujours.

 

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Muriel CAYET – Février 2017 - Poésie au présent permanent

 

 

 

 

 

 

Photographie du présent - Muriel CAYET - Février 2017

 

 

 

 

 

 

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Atelier - Photographie au présent- Muriel Cayet- Février 2017

Ajouté le 24 févr. 2017

Une focalisation sur les outils amis, offreurs de sens

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Photographie du présent - Atelier- Muriel CAYET- Février 2017

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Poésie au présent permanent - Muriel Cayet - Février 2017 - II

Ajouté le 21 févr. 2017

L’ELIXIR DE L’INSTANT

 

L’élixir de l’instant n’est pas un drôle de médicament,

Créer un dialogue constant avec le temps promis,

Il est porteur d’espoir, là pour réinventer, intensément,

Le temps passant, de l’audace, sans ironie.

 

L’élixir de l’instant, c’est un café en Italie,

Le mythe des îles, le grand jour des archipels,

Une application du Timecode, un passage couvert, des rails au fer blanchi,

Présentant ses respects aux réverbères, à l’Opéra, aux chapelles.

 

L’élixir de l’instant se déguste comme un rêve,

Un voyage vers l’intérieur à l’âge des possibles,

Il suscite l’imaginaire autrement, tous en scène, un jeu, une fleur de sourire, en tenue d’Eve,

Quand les crayons témoignent, ils ne se trompent jamais de cible.

 

L’élixir de l’instant guide la rêverie aux persiennes,

Les nouveautés en matière de voyage qu’on appelle des livres,

Une offrande à aujourd’hui, des vélos sur le parvis de pierres anciennes,

Un atelier de codage qui décline dans toutes les langues, le verbe : vivre !

 

***

LA BONNE LANTERNE

 

La bonne lanterne éclaire sans connaître l’objet initial

Elle ne choisit pas, elle connaît toutes les clartés de la conscience,

Guide les voyages maritimes, d’île en île, d’escale en escale,

Philosophe de l’éveil, elle rêve de soi à soi, experte de la géographie de cohérence.

 

 

La bonne lanterne reconnaît ses faiblesses, ses compétences,

Allume son monde numérique, la quête accomplie, elle résout ses calculs de destin,

Connaît l’art du secret, sait remonter jusqu’à la source, le signe du silence,

Elle déchiffre les équations, détermine l’axe du voyage,  la formule au creux de sa main.

 

La bonne lanterne joue avec les perles de verre,

Illumine le caractère unique des instants,

Sous la sphère intellectuelle, crée l’harmonie, d’ici à l’âge de pierre,

Réchauffe le siège de la mémoire, cartographe d’un unique message, un laissez-passer du présent.

 

***

LES VERBES

 

Réfléchir au silence du monde, au soleil levant, à l’ampleur des horizons,

Ressentir le vent de l’ouest, la pureté du diamant, le bleu du ciel, le parfum des bois,

Commencer un travail, être prêt pour la lecture, illuminer du hasard une douce émotion

Choisir un détail de la navigation, Place de l’Opéra ou Rue du Phare, sans savoir pourquoi.

 

Engager un processus, avec des symboles théoriquement sans limites,

Porter au poignet un garde-temps,  au sablier une alternative amusante

Courir sur le boulevard des souvenirs, faire une pause fenêtre ouverte, une visite,

Espérer que tout soit vrai, sans brouillard sans lettres qui dansent, dissonantes.

 

Parler d’une voix singulière et précise,

Jouer des vagues sur le clavier qui disent « Comptez sur moi ».

Retrouver un château sous la lune, indécise,

Reconnaître le sens de tout ceci, un intérêt mutuel pour lui, soi ou toi.

***

 

Muriel Cayet

Poésie au présent permanent

Février 2017

 

 

 

 

 

 

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Poésie au présent permanent - Muriel CAYET - Février 2017

Ajouté le 21 févr. 2017

LES ROUAGES

 

Il y a des rouages partout, visibles dès la première intuition,

Une expérience de confiance, comme celle de l’apothicaire en la charte

Regardez bien la lampe, le système, l’état d’esprit, l’instinct au plus vite de ses ions,

Probablement une ruche au travail, un temps précieux, une texture sur la carte.

 

Pour quelques minutes, on fait une exception, un chemin important, en ami

On regarde longuement les écritures, un répertoire à qui parler, du sérieux qui erre,

Des maisons, horizontales, à distance, un plan d’accès, d’action, une piste suivie,

Une réponse rapide, une découverte qui saute aux yeux, du mystère.

 

Il y a des rouages partout, de ceux qui favorisent l’analyse,

Ils tiennent leurs promesses et savent croire aux coïncidences,

A la bonne heure, ultra rapide, ils racontent une belle histoire, celles des éléments, de maîtrise,

Les joies de la solitude, le quotidien de l’émerveillement, l’excellence de la chance.

 

***

 

LE QUOTIDIEN

 

Le quotidien vagabonde, dois-je le raconter ?

Cela va de soi !  L’attitude de l’aventure commence là,

Convaincu, le jour décisif, il colle à la réalité

Sous un ciel d’ardoise, il lit et dit : bien joué ! Je peux rêver de ce jour-là.

 

Le quotidien croit dire sans envergure, farouchement,

Qu’il vit sans surprises, sans effets, une performance de mémoire,

Il rêve bien présent, sur la façade pliant sous le vent

Son cerveau d’aventurier avec intention, sans fonction essentielle, sans gloire.

Le quotidien a toujours l’horizon pour ami,

Il en voit la moindre nuance et sait s’arrêter net,

Il balaye le panorama, les soirs de lecture en sa compagnie,

Il a la clé, l’accord, le prélude, et toutes les gammes, en vedette.

 

Le quotidien n’a pas de sable dans les yeux, juste une lagune à Venise,

Il sait créer en une seconde un espace de joie, des eaux vives, grimper la colline

De l’eau courante à la houle, une suggestion de matière grise,

Vous pouvez ajouter la tempête, dans la nature, sous le soleil, antidote de réalité, sans routine.

 

Le quotidien, c’est un don de toute évidence,

Un élément étrange, un algorithmique très large, un éventail, une analogie,

Une cible, un espoir inhabituel, un silence de volupté, sans absence.

C’est toujours le moment pour lui, de composer sa rhapsodie.

 

***

 


L’ENFANT DU SIECLE

 

Etre un enfant du siècle réenchanté,

C’est passer son temps en ville ou sous la verrière,

D’une côte urbaine en tartans de façades segmentées

Vibrantes de sirènes de trains, au rythme des rêves simples d’hier.

               

De Paris à New-York, parcourir son portfolio,

A l’ouest de Neptune, au nord de Milan,

Le marin sait quitter Londres pour la gîte de son bateau

Amarré sur un lac aux jardins, joyeux  et dissonants.

 

 

Hermine est née en Italie, au pays des globes frères,

Elle vit de fêtes, d’espace, d’expériences dédiées,

Dans une divine bibliothèque d’eaux claires, safran de céramique, cœur en belvédère,

Son atrium est très précieux ; elle seule en possède la clé.

***

 

ACTE D’AMOUR

Un acte d’amour, c’est une marche de plus à franchir,

Quand le bon vent d’ouest souffle sur la côte bretonne,

Que la conscience se fait compositrice, sans mentir,

Et que dans le cristal du cerveau, en mince pluie, s’abandonne.

Les débats, les discours ne sont jamais éblouissements,

Juste une expérience qui garantit le film de sa vie,

Avec pour seule diva la grammaire du temps,

Une horloge d’idées, des jardins d’instruments à l’envi.

 

Les aventures de Lancelot et de Merlin, le labyrinthe des merveilles,

Métaphore métronomique des nouvelles à naître,

On promet sa philosophie du processus, siégeant au quartier des réveils

Un refuge de sédiments, une scène transportée, untel en devoir d’être.

 

***

 

LA MINUTE RARE

 

La minute rare, c’est un regard à l’angle de la rue, le visage de la vie, simplement

Un schéma qui se forge au premier coup d’œil, une extension essentielle, la réponse des pierres

C’est un piano qui joue sous la neige, la remise d’un pavillon, des félicitations en boucle, tendrement

Un guidage de système, un tableau numérique, une entrée gardée, un rayon de verrière.

 

La minute rare doit être sans rigueur académique, toujours très drôle, sobrement,

Génératrice d’un bienfait ami, d’un village de soie, d’une aile douce sur une journée,

D’un visage profond et passionné, d’une commune identité, d’une théorie évidente, une dynastie, étrangement,

Un goût pour le bizarre, les jours de campagne, un vent d’ouest en soufflet.

 

La minute rare, c’est une collection de fluides, des carats de diamants, magnifiquement,

Le parfum des bois, un écrin de rochers usés, là où le travail commence.

Le soleil levant qui réfléchit le silence du monde, illumine la lecture, tranquillement

La curiosité du hasard, une douce émotion, les détails de navigation, la direction de la chance.

***

 

L’ENFANT DU MONDE

 

Etre un enfant du monde, pas une ébauche d’être : une personne,

Incarner la station debout, être un loup solidaire, en toute liberté,

Humer les couleurs du vent, le niveau de conscience qui résonne,

Dans une mosaïque de villes sacrées, choisir une plage de Polynésie, le paradis retrouvé.

 

Etre un enfant du monde pour dire vrai, fenêtre sur cour,

Dans une rue de Paris en 1920, ou une cabine hippomobile sous le soleil,

Une riche intuition de camarades, le bonheur comme miroir, un simple atour.

Avoir le droit de rêver d’un salon rempli de toiles, ou d’un bijou celtique en vermeil.

 

Etre un enfant du monde libéré des batailles que l’on mène,

Parier sur une vie pleine de sens, un passager de générosité

En être éveillé du sommeil du néant, créer un monde qui leur ressemble, sans haine.

Et vivre de ses rêves en ondes parallèles, découvrir sa propre singularité.

***

 


Muriel CAYET

Poésie au Présent Permanent

Février 2017

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Exposition Canada 2017

Ajouté le 14 févr. 2017

COMMUNIQUÉ
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE


Une 10ème édition annuelle de La Grande Exposition Internationale d’ArtZoom, du 21 au 26 mars à L’Espace contemporain de Québec.


QUEBEC, LE 6 MARS 2017 – La Grande Exposition Internationale d’ArtZoom est présentée du 21 au 26 mars à L’Espace contemporain, galerie d’art située au 313 rue Saint-Jean à Québec, sous la présidence d’honneur de Pierre Poulin (de Lac-Beauport). Quinze artistes du Canada, de France et d’Algérie se partagent l’espace d’exposition pour une dixième édition annuelle sous le commissariat d’HeleneCaroline Fournier. Le vernissage aura lieu, le mardi 21 mars de 17h à 19h, en présence de certains artistes.

Ginette Ash, BEL, Erik Bonnet, Muriel Cayet, Jean Drolet, Manon Germain, Chantale Guy, Bernard Hild, Julie Lemire, LO, Jean Potvin, Pierre Poulin, Lynda Ritchie, Naïma Saadane et UGA sont les artistes exposants. Divers médiums et techniques sont présentés dans cette grande exposition, notamment l’huile, l’acrylique, les techniques mixtes, le collage, la photographie, la sculpture, etc. La quasi totalité des artistes sont reconnus au niveau international, certains d’entre eux sont représentés par des agents, d’autres par des galeries d’art au Canada et en Europe, d’autres, encore, sont des artistes académiciens et/ou des experts en art. Pour la plupart, ils ont reçu des prix et des distinctions pour leur travail.

La Grande Exposition Internationale d’ArtZoom ne se veut pas une imitation des salons européens. C’est un événement au concept simple qui permet la découverte d’œuvres de qualité ayant une certaine rareté. L’art européen et nord-africain est différent de l’art nord-américain - notamment québécois -, et c’était pour ouvrir des horizons culturels que nous avons créé cet événement à Québec, pour la première fois en 2008. Dix ans plus tard, nous sommes persuadés d’avoir fait une différence, dans l’ouverture d’esprit de certaines formes d’art chez les collectionneurs et les amateurs d’art, en leur offrant, chaque année, un échantillon d’une vision du marché international de l’art contemporain.


Sources :

Art Total Multimédia
HeleneCaroline Fournier
www.arttotalmultimedia.com
info@arttotalmultimedia.com

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Créé avec Artmajeur