L’heure rose Le temps visuel d'un tableau, d'une chanson est conçu pour porter les couleurs et les sons de ce tumulte d'images. Souviens-toi l'espace d'un instant, de l’heure rose, de ce long argument mathématique des seuls objets charmants. Déjà, aux premières lueurs, les petits mystères du toit sans fumée rappellent le souvenir qui revient, mystérieux dans ses procédés majeurs. Pour que nos allures et leur contexte dans l'acuité s'affranchissent enfin du réel. Les idoles du premier temps hum1
L’heure rose
Le temps visuel d'un tableau, d'une chanson est conçu pour porter les couleurs et les sons de ce tumulte d'images. Souviens-toi l'espace d'un instant, de l’heure rose, de ce long argument mathématique des seuls objets charmants. Déjà, aux premières lueurs, les petits mystères du toit sans fumée rappellent le souvenir qui revient, mystérieux dans ses procédés majeurs.
Pour que nos allures et leur contexte dans l'acuité s'affranchissent enfin du réel.
Les idoles du premier temps humain, la matière brute pour guérir les étagements de gris, le hasard des mots et des plans pour voir le monde entier, une lumière de jour normal : une aventure possible du temps poétique en d'autres dimensions.
Le processus de création, c'est ce qui apparaît dans l'âme, ce qui exprime et traduit le voyage intérieur ; ici dorment les souvenirs sur une route infinie de nouvelles habitudes et l'horizon abstrait, cette brièveté de l'action, chemine au fur et à mesure avec son âme, le principe même de l'art.
Aux heures roses, se rejoindre sans répondre, apprendre la patience du silence du soir et son intérêt visuel pour quelques traits de peinture, reconnaître la générosité en tout acte et l'intensité des couleurs des belles choses.
Car chaque chose, chaque idée peinte est belle et rare et porteuse d'égalité et d'identité.