TOUJOURS PEINDRE Peindre, non un documentaire, mais un répertoire, A l’air tendre et singulier, amoureux de tout symbole, Il y est question de respect de soi, de règles fluides et d’histoires, Pour mieux comprendre le geste exercé ; travail puis œuvre quand s’exprime la parabole. Peindre, de ses racines aux mémoires de vraies gens, Du printemps à l’hiver, sans lâcher plume et pinceau, Le souvenir monumental chemine, pour rester fidèle ou se nicher, forcément, En un coup réussi, on récolt1
TOUJOURS PEINDRE
Peindre, non un documentaire, mais un répertoire,
A l’air tendre et singulier, amoureux de tout symbole,
Il y est question de respect de soi, de règles fluides et d’histoires,
Pour mieux comprendre le geste exercé ; travail puis œuvre quand s’exprime la parabole.
Peindre, de ses racines aux mémoires de vraies gens,
Du printemps à l’hiver, sans lâcher plume et pinceau,
Le souvenir monumental chemine, pour rester fidèle ou se nicher, forcément,
En un coup réussi, on récolte l’extraordinaire diversité d’une scène, derrière le rideau.
Peindre en ce théâtre-musée, un lieu spécialement pensé,
Parfaitement raccordé à l’univers, et qui peut surprendre
Par ses références oniriques, ses images d’archives, sa grande nouveauté,
Confiant et amusé, il s’agit sans y réfléchir d’une image de la réussite, à tout prendre.
Peindre, pour jouer des tours de passe-passe,
Transmettre l’humour, être penseuse d’étoiles dès la première saison,
Proposer de séduire et d’émouvoir, l’immersion où tout se joue, sans casse.
Faire ce métier sérieusement, l’un des plus beaux, à l’unisson.